Le Cor des Alpes
Dix ans (par Jean-Claude Besson-Damegon)
On peut prendre pour date de la première prestation publique des cors des Alpes de Brignais le 16 mai 1998 à l’église de Vourles (ils prendront le nom de « Souffle de la Vallée du Barret » un peu plus tard). Il s’agissait (déjà !) d’un concert donné au profit de l'Association « Guillaume Espoir » avec la participation de l’organiste Emmanuel Beck (Ce soir là, l'orgue de Vourles avait de gros problèmes, et la virtuosité d’Emmanuel Beck a masqué les défaillances de l’orgue).
Le groupe était composé pour cette première prestation de Maurice CROUZET, Roger GIRARD, Christophe
FARABET et du regretté Gaston GOTAIL. Maurice, Christophe et Gaston ont ce soir là donné aussi quelques pièces à la trompette.
Roger jouait avec son cor de chez Gérald Pot, Christophe avec l’ancien Lamey de Roger. Maurice avait déjà réalisé deux premiers cors pour lui et Gaston, en plus des trompes droites cylindriques et coniques qu’il utilise pour illustrer l’influence du « tuyau » sur le timbre !
Les cors ont joué ce soir là, outre l’inévitable Ranz des vaches, des pièces assez difficiles de Sommer, Gassmann, Schmid, Studer….
Parmi les spectateurs attentifs se trouvait, ce soir là, Jean-Claude BESSON qui ne connaissait encore aucun des musiciens cités, mais qui les retrouvera plus tard, et depuis est fidèle au groupe !
Le 17 mai 2008, soit dix ans presque jour pour jour, nous aurons à nouveau le plaisir de rejouer pour « Guillaume Espoir », c’est pas aussi de la fidélité cela ?
Le groupe était composé pour cette première prestation de Maurice CROUZET, Roger GIRARD, Christophe
FARABET et du regretté Gaston GOTAIL. Maurice, Christophe et Gaston ont ce soir là donné aussi quelques pièces à la trompette.
Roger jouait avec son cor de chez Gérald Pot, Christophe avec l’ancien Lamey de Roger. Maurice avait déjà réalisé deux premiers cors pour lui et Gaston, en plus des trompes droites cylindriques et coniques qu’il utilise pour illustrer l’influence du « tuyau » sur le timbre !
Les cors ont joué ce soir là, outre l’inévitable Ranz des vaches, des pièces assez difficiles de Sommer, Gassmann, Schmid, Studer….
Parmi les spectateurs attentifs se trouvait, ce soir là, Jean-Claude BESSON qui ne connaissait encore aucun des musiciens cités, mais qui les retrouvera plus tard, et depuis est fidèle au groupe !
Le 17 mai 2008, soit dix ans presque jour pour jour, nous aurons à nouveau le plaisir de rejouer pour « Guillaume Espoir », c’est pas aussi de la fidélité cela ?
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